Reste-t-il de l’animal dans notre humanité ?
Ou l’homme s’est transformé dans la continuité
Selon certaine faveur de l’évolution
Ou par une admirable transformation
Être humain sans reste animal
Au secours d’un moralisme à valeur fondamental ?
Car l’humain contient toujours une part de sensibilité
Qui fait du reste sa part de vulnérabilité
Concept qui nous plonge dans un dualisme métaphysique
Nous vivons comme des humains et loin d’un mode animal
métempirique
La masse humaine vit dans une certaine morale
L’animal ne possédant que des éléments constitutifs de cette
morale
Erreur de concevoir pour l’homme ce supplément d’humanité
En ne reconnaissant à l’animal que des capacités cognitives
avancées
Et si on s’était planté dans nos capacités ?
Et qu’on a juste augmenté notre intersubjectivité
Qu’on a dépassé la vie clanique, la vie de groupe organisé
A une vie de plus en plus institutionnalisée
Il n’y a que l’être humain doué de raison qui pousse ses
réflexions
Cet énoncé invite à l’anthropocentrisme comme logique de
position
Tout cela est tout en subtilité et sensibilité
Il faudrait pouvoir penser avec notre animalité
Être humain est être animal dans son corps et dans sa tête
En sommes, l’homme reste bête
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