Un premier regard qui laisse présager une attirance sous cet air de jolie rebelle
Et tu deviens en un instant la femme que je trouve
particulièrement belle.
On devine vite à ton attitude, une personne élégante, un
être malicieux
Qui faut l’avouer a le don de me réveiller et me rendre
heureux.
Tu dégages en effet dans l’air
Tes molécules de bonheur qui se distillent dans mon atmosphère.
Il n’y a qu’à te frôler et te suivre
Pour que tes phéromones m’enivrent.
J’aspirai à croire que tu étais l’élue de mon cœur
Par ce chamboulement de tous mes neurotransmetteurs.
D’un rien tu réveillais ce monde longtemps plongé dans la
torpeur
Tout s’illuminait autour de toi, ta lumière désagrégeait ces
vieux amas de noirceur.
Telle une danse chamanique
Une transe hypnotique.
Tu me donnais ce que mon futur espérait de délicieux
Une histoire forte et simple pour être à nouveau heureux,
amoureux.
Ai-je trop effarouché ces mystères du désir ?
Pour que la lumière se soit éteinte comme le courant d’air
qu’on ne peut saisir
Mais que l’on ressent face au miroir de soi-même en douce
torture
Qu’on projetterait dans un incertain futur.
J’ai failli dire les mots longtemps retenus et jouer tapis
Alors que je n’avais décidément rien compris.
Je ne suis plus fait pour l’amour qu’on veut faire rimer
avec toujours.
C’est la rancœur d’un cœur qui plonge davantage dans le
désamour.
molécules, phéromones, neurotransmetteurs... Tu n'aurais pas fait de la biochimie, par le plus grand des hasards ?
RépondreSupprimerMais dis-moi Bibison, tu m'as l'air bien informé ?!
Supprimerj'ai squatté des amphis, l'air hagard par hasard.
SupprimerA reluquer les nichons de Valérie et son pétard en faut scribouillard ...
SupprimerJe n'ai plus la mémoire des noms, à mon âge, seulement des formes...
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