Mes pensées dérivent comme une Bélandre
Depuis déjà ces quinze jours à t’attendre
A me languir de toi par cette trop longue absence
Chaque instant passé met mes sens en quête de ta présence
A me troubler de par ton corps bouillonnant
A te voir sourire tout en rougissant
Je te caresserai alors de mon passionné regard
Tout en t’effeuillant de tes derniers remparts
On se prendrait dans nos bras en une douce étreinte
Et nous nous embrasserons sans contraintes
Mes mains caresseront tes courbes impudiques
Pour reprendre nos fabuleux jeux érotiques
Jeux de regards et de langues se mélangeant
Le plaisir se fera plus ardent
Sur ton corps mes baisers te couvriront
Pour que ton plaisir s’ouvre à nouveau au dard de Cupidon !
Hou... qu'il fait chaud par ici, esprit canicule comment veux tu que je...
RépondreSupprimer... ne boive pas à ta santé Bibison !
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