Il a bien fait chaud aujourd’hui
Une touffeur qui transporte mes délires, mes envies
Quelle ironie ! Je nous vois sur une belle plage de
sable fin
A t’enlacer, t’embrasser et te faire l’amour avec entrain
Sous les rayons de ce cuisant soleil qui nous brûle tant
Ou est-ce tout bonnement par le jeu de nos corps
bouillonnants ?
Ahhhhh, quel charmant spectacle que de voir une femme nue
Parée de la plus simple et plus voluptueuse des tenues
Comment avec ces lignes érotiques ne pas avoir envie ?
De ces seins appétissants, de ces hanches et de ces fesses
rebondies
Hummm, tu me fais bander par tes poses impudiques
Qui libèrent le volcan des rappels de mes passions oniriques
La chaleur est enivrante et empoigne nos chairs
Nos peaux humides se font plus réceptives aux caresses dans
cette ardente atmosphère
Sous mes mains ton corps divin se fait encore plus
incandescent
Et mon envie devient emballement lorsque j’entends tes
merveilleux gémissements
Et pourtant tu n’es pas là. Tout cela n’est qu’un prosaïque
écrit concupiscent
J’écris ces lignes comme je caresse ton corps pour me
souvenir et le revivre encore maintenant
aaaaaaahhhhhhh.... non je n'ai pas encore joui, mais ça ne devrait pas tarder... Que ça me fait plaisir de te retrouver là, avec un nouveau texte aussi torride qu'une guitare gilmourienne... J'adore toujours ta poésie, autant que des seins appétissants ou des fesses rebondies
RépondreSupprimerMerci Bibison
SupprimerCe doit être la force du printemps qui me titille !
La sève monte ...