Sollicite-moi, réclame-moi les caresses que veut ton corps
Que je décèle dans ton regard, dans le sourire de tes yeux
ce mot encore
Et je te ferais cadeau du contact de mes doigts, de ma
langue, de mes lèvres
Tu es mon sublime ouvrage qui aurait pu être monté par les
meilleurs des orfèvres
Le désir s’accroit quand l’effet se recule dirait Corneille
Dans un formidable kakemphaton qui me fait encore réfléchir
Mais entendre tes soupirs, voir tes yeux se fermer, n’est
que pure merveille
Quand tu te fais prendre par les remous de ces douces
ondulations de plaisir
C’est juste là dans ces précieux moments de bonheur
Que tu as l’impression de baigner dans un bien-être de
sérénité
Vivre au milieu de ses plaisirs et s’y abandonner
Se détacher du temps, lentement avec douceur …
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