J’apprécie tous ces plaisirs qui ont une forme d’interdit
Mélange de chair, de chaleur, de moiteur mais aussi il faut
le dire de magie
Où l’on est transporté hors de soi par ces envolées de caresses
Ravissement de ce contact corporel qui ne cesse
Avoir cette faim d’ogre qui t’aiguise le regard
T’ouvre les pores et te fait plus malin qu’un renard
Qui te fait te jeter dans le vide infini
Des illusions d’un bien beau paradis
A surfer sur la vague de ce délicieux présent
A ces somptueux et éphémères instants
Où se mêle cette folie lubrique
Par ces magnifiques moments de nique
Où tu couines du regard cette jouissance à offrir
Ce plaisir qui s’étale comme une offrande à venir
Alors jubile, savoure, délecte-toi de ce nectar, de ce breuvage
des Dieux
Ici, aujourd’hui, les dieux de la nuit, c’est nous deux
Dans ce jardin des plaisirs interdits, nous somme les proies
captives
De nos envies, de nos imaginations qui vivent
Des bêtes en rut qui ne renient pas leur part animal
A croire qu’on baiserait comme des chacals !
Belle et rousse Mylène
RépondreSupprimertu es toute ma jeunesse,
ma bouteille d'acétylène
qui s'enflamme sous tes caresses
Sacré Mylène, des textes à relire tranquillement car on chantonne gentiment ses phrases sans arrière pensée alors que cette chanson semble parler d'un certain côté obscur!
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