samedi 22 novembre 2025

MAL DE PIERRE !

 

Un soir comme un autre, le repas et la vaisselle sont terminés,

Les enfants vont bientôt aller se coucher,

Et là, sans voir venir, c’est le coup de poignard dans le dos,

Ce point violent qui te prend tout de go,

Ce déchirement qui contre ta volonté,

Te fais te plier en deux sans pouvoir y résister.


Tu comprends tout de suite ce qu’il t’arrive,

C’est encore une crise de colique néphrétique qui se fait vive,

En médecine chinoise, on dit qu’elle est liée à la peur …

Laquelle ? Ce qui est sûr c’est la présence de cette atroce douleur.

Et là tu connais bien la sentence,

Va falloir aller vite aux urgences.


Mais impossible de conduite dans cet état

Oser déranger et appeler un, ou une amie pour t’amener même à cette heure-là ?

Laissons tomber …

Appelons les pompiers !

Téléphone … Redirection un médecin du SAMU, allo …

On te dit de vite aller à la maison médicale qui ferme dans 20 minutes à 22H… presto !


Alors cahin-caha tu t’habilles et puis t’as pas le choix, tu y vas.

Soulagement tu y es parvenu, tu es là !

Direction les urgences et prise en charge immédiate.

Fabuleuse infirmière qui sait ce que c’est que d’avoir un calcul d’oxalate.

On te pose immédiatement ta perf, enfin ta drogue salvatrice va se glisser en toi.

Ohhhh morphine, je t’accueille avec joie dans mon bras.


La douleur s’atténue lentement, reste à prendre son mal en patience,

Et gérer médicalement cette souffrance.

3h du mat, ça fait 6 heures déjà à attendre dans le couloir ta prise en charge

Et enfin un brancardier t’emmène dans le monte-charge

Direction le scanner pour identifier enfin ce mal

Résultat un beau caillou de 8-10 mm, joli petit cristal !




mercredi 19 novembre 2025

UN 13 NOVEMBRE

 

C'était un 13 novembre 2015

Une date qui résonne maintenant comme Marignan 1515

Un soir de fête qui plonge dans le malheur

La France connait un nouvel état de terreur.

De pseudos islamistes tirent à bout portant

Et mettent au tapis des centaines d’innocents

Puis se font sauter avec leur ceinture d’explosifs

Histoire de marquer encore plus nos chairs à vifs.

Ces terroristes veulent jouer sur la psychose

Les parisiens répondent avec des roses !

Munis de cagoules, on est face à de nouveaux bourreaux

Qui ne pensent que fusillade et verser du sang pur sang

A briser des destins sur les terrasses d’un restaurant

A lâchement achever des vies à l’heure de l’apéro.

Une fois de plus, on est face à des actes de terrorisme

Et c’est le peuple qui est victime, victime de ce fondamentalisme

Tu penses qu’avec ton jihad tu vas pouvoir nous mettre à genoux

Et bien sache que la France, restera toujours debout.




samedi 15 novembre 2025

SONGERIE ÉROTIQUE


Puisque cette douce réalité m’est encore interdite,

Je flâne et m’attarde dans mes rêves érotiques.

Alors, j’aligne doucement un à un tous ces mots,

Comme je pourrais glisser mes mains sur ton dos.

Me laissant guider par le sens tactile de mes doigts,

Je commence lentement une première esquisse,

Mon stylo couche sur le papier nos doux ébats,

Afin que nos sens, gentiment, se libèrent de nos caprices,

Alors que notre désir se fait de plus en plus pressant.

Que j’aimerai tant ressentir vraiment ton cœur et ton corps bouillonnant,

Te sentir t’abandonner dans l’ivresse de mes caresses et de mes baisers,

Te voir succomber au plaisir, au désir et à la sensualité.

Je poursuis mon billet doux en t’imaginant nue, allongée et offerte.

Te voilà prête, ouverte et comme je te l’ai dit, tu es une sacrée découverte.

C’est une passion effrénée qui nous unit,

La joie simple du plaisir qui devient une vraie frénésie.

Le jeu de la démesure s’emballe toute la nuit.

Nous sommes deux êtres ayant le même appétit.

Nous ne savons plus ce qu’est le temps,

Nous formons un dans cet instant.

Le rêve, la réalité, l’écrit, tout se rejoint, s’unit,

Le fantasme est certitude et a dégagé nos plus intimes envies,

La louve libérée devient même une diablesse provocante pleine d’impétuosité.

Et quand la furie de la passion orgasmique s’estompera,

Tu te blottiras tout contre moi dans le creux de mes bras.

Et le sommeil va progressivement nous emmener,

Et je me réveillerai sans savoir si ce que j’ai rêvé je l’ai réellement vécu à tes côtés,

Même si j’ai encore le sentiment à mon réveil,

De sentir ton odeur et ton baiser sur ma joue qui remet mes sens en éveil.

De cette folle nuit, la page se sera bien noircit du bonheur passé à tes côtés.

L’empreinte de cette histoire sur nos corps et nos âmes restera-t-elle à jamais gravée ?

Ou ce sera une mémoire qui comme ces éphémères moments va malgré toi se décolorer ?

Assez ! Réveille-toi pauv’ mec, t’as encore bien rêvé !




MAL DE PIERRE !

  Un soir comme un autre, le repas et la vaisselle sont terminés, Les enfants vont bientôt aller se coucher, Et là, sans voir venir, c’est l...

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