Posé tranquille devant la TV, tu t’assieds à mes côtés
Et ta main vient caresser mon sexe qui se met à bander
Tu dézippes mon jean, extirpes ma tige
Et voilà offert à toi, cet engin te donnant le vertige
Tu commences alors à le prendre en main
Et démarrer de lents mais bons va-et-vient
Telle l’abandonnée rivée sur son épave
Tu m’empoignes fièrement par tes caresses qui se font plus suaves
Entre deux lèvres qui sont semblables à deux mains jointes
Après m’avoir lancé un sourire, tu sors ta langue en pointe
Afin de venir me goûter, l’appétit se faisant plus fort
Tu m’excites en m’approchant lentement, allez, encore un peu, encore …
Tu me suces, tu me lèches, tu me couvres de baisers mouillés
Ta langue joue sur ma hampe ou vient me titiller
Puis avide tu me pompes et m’engouffres d’un coup sûr
Tu te régales de ce fruit devenu mûr
Tu n’accordes aucun repos à ce membre déployé
Avec lequel tu ne cesses de jouer
Puis tu le libères enfin de tes lèvres couleur corail
Pour pouvoir, gourmande, contempler ton délicieux travail
Soif inassouvie, tu reprends ton ouvrage
Et rejoues les différents passages
Tu me titilles de ta langue ou m’enroules
Avant de ravaler ma bite ou de me lécher mes boules
Afin de t’éviter la fameuse crampe buccale
Tu t’octroies un passage de flambeau réglé comme une partition musicale
A ta main qui commence à jouer ces plus beaux mouvements érotiques
Le cap est passé, tu me branles de manière impudique
D’une main tu t’actives sur ma bite bien fière
Pour reprendre en bouche ta chevauchée cavalière
Je sens venir au fond de moi ce plaisir
Tu as gagné, ton art va me faire défaillir
En pompeuse goulue, tu avales mon sperme
Tu jubiles de ton triomphe qui, de cette jouissance mettra un terme
Rayonnante, tu te réjouis de ma semence déversée
Par les derniers soubresauts de cette pauvre verge congestionnée