Voilà que tu m’as quitté, et encore maintenant j’égrène le
temps
A la recherche de ces moments qui me manquent tant.
C’est comme si tu étais partie à l’autre bout du monde
Pris ton billet et ton envol, tu t’es effacée de ma vie en l’espace
d’une seconde
De tous ces instants, il me reste des photos que je regarde
comme un ringard
Et cette lumière dans tes yeux et le souvenir de ton regard
Et l’éclat de ce sourire malin si joyeux
Toutes ces petites choses qui m’ont rendu heureux
Et paf ! Voilà à nouveau le rouage de la belle vie qui se
détraque
Tout se dérègle dans ce monde qui paraissait enfin paradisiaque
Ta présence est toujours là, tu es sans cesse dans mes
pensées
Bizarrerie du mental qui revit tous ces moments passés à tes
côtés
Chacune des pièces, chaque endroit visité avec toi imprègne
ma vision
Comment ne pas devenir fou à en perdre la raison ?
Cette obsession maladive accapare tout mon champ de
conscience
Tu ne parviens pas à te faire oublier, étais-tu donc habitée
de maléficience ?
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