La journée s’achève, les collègues rentrent chez eux puis vient le soir
Comme quand tu éteins la télé, c’est l’écran noir
Et recommence alors les gémissements d’un orphelin
Qui ne te lâchent plus jusqu’au petit matin
Comment pouvoir écrire une suite
Alors que ton image jamais ne me quitte ?
Quand toutes ces turpitudes
Remplissent mon cœur d’incertitude
Je ne sais où tremper ma plume
Dans le poids de ces maux tel une enclume
Ahhh s’il me restait l’encre lourde de mes pleurs
Afin de scribouiller au hasard d’insondables douleurs
A voir ces gens rires et aux yeux hagards
Pas un cependant n’aura d’égard
A ma pauvre âme meurtrie
Ou à mon cœur qui succombe et qui gémit
Pour finir par se noyer dans le profond silence
De ta triste et bien réelle absence
Irréelle et aliénée devient ce qui reste de ma vie
Faite d’impostures, trompe l’œil même dans mes rêveries
Je recherche des souvenirs d’avant, des souvenirs d’antan
Pour me remémorer le bon temps
J’imagine l’espace qui m’étreint rempli de tes rires et sourires
Par peur en ton absence de … mourir
Ce ne sont pas là les caprices d’un amant
Tu me manques tout simplement
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